De nos jours, on entend beaucoup parler des « droits de l’homme » dans le monde. Permettez-moi de placer cela dans le contexte de la Bible. La Bible parle des pauvres, des sans abris, des serviteurs, des sans emploi et des esclaves, sans faire de commentaires sur leurs droits à la nourriture, à un toit, aux soins de santé, à l’emploi, etc. Quels droits de l’homme Dieu nous donne-t-il donc ? Jouissons-nous de droits fondamentaux ? Je crois que nous jouissons d’un droit très fondamental, celui de choisir notre Dieu, ou aucun dieu. Ne laissez personne interférer avec ce droit de l’homme des plus fondamentaux.
Au début, le sixième jour, Dieu créa le premier homme, Adam. Dieu donna à Adam le droit de l’homme le plus fondamental : celui de choisir Dieu ou aucun dieu, de manger du fruit ou de ne pas en manger. Dieu permit à Adam d’accéder à l’arbre et lui donna la liberté d’en manger. Personne ne pouvait empêcher Adam de choisir, même Dieu n’est pas intervenu. Ève jouissait, elle aussi, de ce droit de l’homme le plus fondamental, et elle choisit de manger du fruit. Ève essaya, et réussit, de convaincre Adam d’en manger aussi, il choisit d’en manger, mais personne ne l’y a forcée. Il l’a fait de son propre gré (faisant usage du libre arbitre), il a exercé ce droit de l’homme le plus fondamental.
Un jour, une femme chrétienne est venue me voir et m’a dit qu’elle craignait pour son fils ; il recherchait la vérité et s’intéressait à d’autres religions. Je lui ai confié les mots de Jésus :
Matthieu 7:7 Demandez, et il vous sera donné; cherchez, et vous trouverez; heurtez, et il vous sera ouvert;
Matthieu 7:8 car quiconque demande, reçoit; et celui qui cherche, trouve; et à celui qui heurte, il sera ouvert. (Jésus DB)
C’est étonnant, mais vrai, Jésus nous encourage à demander, à rechercher et à trouver. Il veut que nous jouissions de notre droit de l’homme le plus fondamental qui est de choisir qui nous suivrons. Réfléchissez-y, si nous n’avions pas de liberté de choix, quel serait l’honneur pour Dieu si nous le choisissions ? Si nous étions forcés à adorer ou pratiquer certains rituels religieux, quel honneur ou plaisir Dieu en retirerait-il ?
Lorsque mes enfants étaient petits et qu’ils me posaient des questions sur le christianisme, je leur disais de demander, rechercher et trouver. Je leur expliquais que notre maison était une maison chrétienne et que nous suivons Dieu en suivant les préceptes de la Bible, mais que, lorsqu’ils seraient majeurs, ils seraient libres de croire ce qui leur plaît. Je ne voulais pas les priver de leurs droits de l’homme fondamentaux. J’aime les mots de Josué, qui comprenait :
Josué 24:15 Et s’il est mauvais à vos yeux de servir l’Éternel, choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir, soit les dieux que vos pères qui étaient de l’autre côté du fleuve ont servis, soit les dieux de l’Amoréen, dans le pays duquel vous habitez. Mais moi et ma maison, nous servirons l’Éternel. (DB)
Il ne faut pas que vos enfants basent leur foi sur vous ou votre foi. Il est important qu’ils placent leur foi sur une solide fondation, sur une relation personnelle avec Dieu.
C’est dans la nature de l’homme que de forcer les autres à croire quelque chose, que ce soit une religion ou autre chose. Le communisme, par exemple, force ses partisans à rejeter Dieu. D’autres forcent leurs idées et traditions religieuses. C’est contre la volonté de Dieu, telle qu’elle est exprimée dans la Bible.
La plupart des religions, y compris le christianisme, ont par le passé privé les gens de ce droit de l’homme fondamental qu’est la liberté religieuse. C’est mauvais et contraire à la Bible. Mes chers amis et enfants, répandons la bonne nouvelle que nous sommes libres de choisir notre dieu. Défendez la liberté de religion ; si quelqu’un tente de vous priver de vos droits de l’homme fondamentaux, séparez-vous d’eux.