Quelque chose de facile

 

Dans la vie, la différence entre le succès et l’échec se joue à peu de choses près et souvent, cette différence est quelque chose de simple et facile : quelque chose d’aussi simple qu’un câlin. Je ne sais plus exactement comme ça a commencé, mais dans les quelques années qui suivirent notre mariage, mon épouse et moi nous serrions dans les bras et priions l’un pour l’autre avant mon départ pour le travail. Lorsque ma femme me serrait dans ses bras, elle priait que le Seigneur me bénisse et me protège dans mon travail, et j’en faisais de même pour elle. Cette étreinte était simple, facile et agréable, mais elle avait des résultats profonds. Lorsqu’il y avait des moments difficiles au travail, je gardais confiance car que savais que Dieu et mon épouse étaient avec moi ; et lorsque je devais prendre de difficiles décisions, je savais que j’avais l’onction divine. Cela avait un effet similaire sur mon épouse, avec toutes les difficultés que représentait le soin à apporter aux enfants et au ménage.

Un des autres avantages du câlin, c’est que c’est une expression de l’union qui se produit au sein du mariage. Un câlin représente et promeut cette union : que nous sommes un et non pas deux ; tout ce qui me profite lui profite et tout ce qui lui profite me profite également. L’ennemi essaye continuellement de détruire les mariages, mais un simple câlin peut défaire ses assauts.

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