Les trois étapes

L’été passé ma fille et moi pêchaient. Nous avons généralement un grand temps de la liaison et de communiquer pendant ces temps de pêche. Car nous nous concentrions sur obtenir « grand celui », elle, sans n’importe quel avertissement, m’a attrapé outre de la garde et a dit, « papa, je suis ainsi déçu à toi et à l’égard perdant d’AM pour toi. » Ceci, à son crédit et à ma surprise, a réorienté mon foyer. « Pourriez vous être peu un plus spécifique », avez dit l’I. Elle m’a donné une liste de choses que j’avais commencées, mais n’avait pas fini. « En résumé, » elle a dit, « vous ne finissez jamais n’importe quoi et c’est un mauvais exemple à moi et à David (son frère). » Elle a également dit que la plus grande déception à elle ne finissait pas le site Web français que j’avais commencé il y a quatre ans. Elle a dit, le « papa, qui est important, il est nécessaire ! »

Alors je suis entré dedans pour mettre en scène 1 : justification. J’ai expliqué comment nous, Sharon et I, notification comment j’ai choisi de partager le blâme en plus de justifier mes actions, avions rencontré des problèmes techniques. En outre, nous ne pourrions pas trouver n’importe qui vouloir perfectionner nos traductions brutes. Cette étape de justification n’a pas fonctionné pour des raisons à l’embarras à raconter. Ainsi j’ai entamé la prochaine étape : promesses obscures et pas sincères. J’ai dit, « Christina BIEN, je lui donnerai un regard et un essai différents pour progresser. » J’ai pensé qu’elle oublierait à temps et je pourrais avoir de la paix. Elle, étant une jeune dame tenace a mené la conversation en me faisant savoir qu’elle ne laisserait pas ceci aller jusqu’à moi l’a fini ou s’était avéré à elle qu’il ne pourrait pas être fait.

Dans la rétrospection, je suis heureux de dire qu’elle a utilisé, pendant cette discussion, des techniques que je l’avais enseignée au sujet de la puissance de la vérité, ne devenant pas fâchée, et en utilisant des qualifications efficaces de communication. C’est bon. Mais, immobile j’ai dû adresser l’étape trois : décision. J’ai décidé : elle avait raison. Chaque chose est tombée dans l’endroit, les problèmes techniques ont été facilement résolus par le nouveau logiciel et le problème de traduction également a été facilement résolu. Je n’ennuierai pas le lecteur avec les détails. Hier, j’ai fini le site Web : http://www.jecrois.org/ 

Ce site Web est très passionnant pour Sharon et moi. Il y a une ligne très fine entre le succès et l’échec ; et Christina a jailli.

J’ ai un problème additionnel : mon fils se range du bon coté et m’a dit qu’il est également déçu par moi, et perdra le respect à moins que je finisse des autres projets que j’ai lancés il y a des années. Je suis actuellement indélogeable dans l’étape 2.

James  

The Three Stages

Last summer my daughter and I were fishing. We generally have a great time of bonding and communicating during these fishing times. As we were concentrating on getting the “big one”, she, without any warning, caught me off guard and said, “Dad, I am so disappointed in you and am losing respect for you.” This, to her credit and my surprise, redirected my focus. “Could you be a little more specific”, said I. She gave me a list of things that I had started, but hadn’t finished. “In summary,” she said, “you never finish anything and it is a bad example to me and David (her brother).” She also said that the greatest disappointment to her was not finishing the French website I had started four years ago. She said, “Dad, that is important, it is needed!”

Then I entered in to stage 1: justification. I explained how we, Sharon and I, notice how I elected to share the blame in addition to justifying my actions, had encountered technical problems. Also, we couldn’t find anyone willing to perfect our crude translations. This justification stage didn’t work for reasons to embarrassing to recount. So I entered into the next stage: obscure and insincere promises. I said, “OK Christina, I will give it another look and try to make some progress.” I thought she would forget in time and I could have some peace. She, being a tenacious young lady finalized the conversation by letting me know she would not let this go until either I finished it or had proved to her it couldn’t be done.

In retrospect, I am pleased to say that she employed, during this debate, techniques I had taught her concerning the power of truth, not getting angry, and using effective communication skills. This is good. But, still I had to address stage three: decision. I decided: she was right. Every thing fell into place, the technical problems were easily solved by new software and the translation problem also was easily solved. I won’t bore the reader with the details. Yesterday, I finished the website: http://www.jecrois.org/ 

This website is very exciting for Sharon and me. There is a very fine line between success and failure; and Christina did well.

I do have an additional problem: my son is riding this band wagon and has told me that he is also disappointed with me, and will lose respect unless I finish another projects I started years ago. I am currently entrenched in stage 2.

James